enrico caruso
Enrico Caruso «Una Furtiva Lagrima (remasterisé)
Enrico Caruso interprète «Tu ca nun chiagne» (E.de Curtis/Bovio)
2 août 1921 : la mort de celui qui chantait tout, partout et « de partout »
Après la Première guerre mondiale, durant laquelle il s’était tenu éloigné de l’Europe et s’était exilé aux Etats-Unis, Enrico Caruso a déjà acquis un prestige énorme et conquis le titre de plus grand ténor de tous les temps, créateurs de plusieurs rôles (Dick Johnson de la Fanciulla del West, Loris Ypanov de Fedora, Federico de l’Arlesiana, Maurice d’Adriana Lecouvreur, et d’autres, jusqu’au Julien de Charpentier).
Véritable star aux Etats-Unis, il y est devenu un pilier du Metropolitan Opera de New York, enchainant les rôles (il y chantera plus de 900 fois en moins de vingt ans) et les performances. Ce voyageur infatigable se produit partout dans le monde, notamment en Amérique latine entre 1917 et 1919, pour recueillir des fonds et soutenir ainsi l’effort de guerre des alliés. Il est même devenu un pionnier du disque, enregistrant jusqu’à 250 airs et chansons pendant les 20 dernières années de sa courte vie. Tout le monde ou presque connaît son nom et sa gloire semble durable au lendemain de la guerre, particulièrement aux Etats-Unis, devenus sa seconde patrie.
1920 marque un tournant. Il débute l’année par une longue tourné …
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Una Furtiva Lagrima – Enrico Caruso 1904
12 TÉNORS DU PASSÉ – Caruso, Gigli, Bjorling, Schipa, Melchior, Tauber …
Enrico Caruso
Enrico Caruso – Vesti la giubba
Trois miracles dans une vie
«Dans ma vie, il y a eu trois miracles – Caruso, Ponselle et Ruffo.»