Parmi les nombreux hommages qui se sont déversés après la mort de Bellini, un ressort. Il a été écrit par Felice Romani et publié à Turin le 1er octobre 1835. Il y dit :
… Peut-être aucun des compositeurs autres que les nôtres, savent aussi bien que Bellini que la nécessité d’une union étroite de la musique avec la poésie, la vérité dramatique, le langage des émotions, la preuve de l’expression. et il conclut : « J’ai transpiré pendant quinze ans pour trouver un Bellini! Un seul jour me l’a pris! »
…Perhaps no composers other than ours, know as well as Bellini the necessity for a close union of music with poetry, dramatic truth, the language of emotions, the proof of expression.
and he concludes: « I sweated for fifteen years to find a Bellini! A single day took him from me! »