New York Metropolitan Opera en 1937
Il y a cinquante ans (1910) il semblait qu’il y avait assez de chanteurs pour former un régiment. Aujurd’hui (1960), combien d’artistes peuvent interpréter les rôles majeurs au Metropolitan Opera de New York? Quatre? Cinq? (Harold C. Schonberg).
Schonberg écrivit ces mots en 1965 dans le Neew York Times, période que l’on appelle aujourd’hui le Second Âge d’Or du Metropolitan Opera. Qu’en est-il aujourd’hui? C’était l’époque où il y avait une constellation de grandes stars, qui cessa vers 1966 ou 1970.
Soir après soir, il y avait Tebaldi, Callas. S,il n’y avait pas Milanov il y avait Nilsson. Il y avait Caballé, Satherland. Ou encore, il y avait Albanese, Amara, Arroyo, Costa, Curtis-Verna, D’Angelo, De Los éangeles, Farrell, Flagstad, Freni, Kirsten, Moffo, Munsel, Pons, Price, Sayao, Schwarzkopf, Scotto, Steber, Stella, Tucci ainsi que plusierus autres.
Pas seulement des soprani, il y avait des tenori tels que Barioni, Baum, Bergonzi, Bjoërling, Campora, Conley, Corelli, Del Monaco, Konya, Krauss, Labo, McCracken, Morell, Peerce, Poggi, Prandelli, Prevedi, Raimondi, Tagliavini, Tucker, Vickers, Vinay, …
Il y avait les mezzi comme Barbieri, Bombry, Cosotto, Dunn, Elias, Gorr, Rankin, Simoniato, Stevens, Thebom … Des baritons tels que Bardelli, Bastianini, colzani, Hotter, MacNeil, Merrill, Sereni, Valdengo, Warren, … Des basses comme Hines, London, Moscona, Siepi, … Et il ne s’agit qu’une fraction des grands chanteurs du Met au cours de cette période.
Dire que Schonberg était déçu en 1960!